Elle prend le temps de pleurer,

De regarder les feuilles tomber,

Elle prend le temps de l’aimer,

Cet amour pourtant passé...

Elle ne l’oubliera pas,

Elle ne pourra pas,

Elle se sent obliger d’avancer,

Elle marche, mais avec regrets,

Elle se sent coupable de devoir l’oublier,

Bien sur, contre son gré,

Mais elle doit tout recommencer...

Elle prend le temps de lui parler,

Elle voudrait pouvoir tout lui expliquer,

Elle voudrait cesser de l’aimer,

Mais pourtant, elle ne peut cesser,

Elle tient trop a lui,

Elle en a fini avec sa vie,

Overdose, elle se met à hurler,

Qu’elle n’en peut plus,

Qu’elle n’en veut plus...

Elle s’en va,

Et ne la retient pas...

Quoi qu’on puisse dire,

Je t’attends...

Même si sa me fais souffrir,

Je t’attends...

Je continue de t’aimer,

Je t’attends...

C’est un souvenir bien garder...

Je t’attends...

Je t’aime avec mon cœur,

Je t’attends...

Même si j’ai un peu peur,

Je t’attends...

Je regarde les feuilles doucement tomber,

Je t’attends...

Tu occupes toutes mes pensées.

Je t’attends...

Toi que j’aime tant :

Je t’attends...

La pluie tombe sur un paysage,

Triste et belle comme image,

Mais personne ne se souci,

D’elle, et de sa triste vie...

 

Elle a prit conscience,

De sa misérable existence,

Alors pourquoi continuer ?

Pourquoi encore résister ?

 

Elle se pose beaucoup de question,

Elle ne croit plus en ces futiles illusions,

Elle veut juste en finir,

Pour à jamais partir...

 

La pluie sur son visage,

Efface le sang de son passage,

Le bras mutilé, elle part,

Elle quitte ce cauchemar...

 

Il y a de l’orage,

La tempête fait rage,

Elle est vêtue que de noir,

Elle ne croit plus en l’espoir...

 

Quelques gouttes se mélange à son sang,

Elle s’assoit, tout en haletant,

Elle s’allonge par terre,

S’entant le relief des pierres...

 

Elle lâche un soupir de douleur,

Elle n’éprouve plus de rancœur,

C’est comme ça, qu’elle est partie,

C’est ainsi qu’elle a quittée sa vie...

La pluie tombe sur un paysage,

Triste et belle comme image,

Mais personne ne se souci,

D’elle, et de sa triste vie...

 

Elle a prit conscience,

De sa misérable existence,

Alors pourquoi continuer ?

Pourquoi encore résister ?

 

Elle se pose beaucoup de question,

Elle ne croit plus en ces futiles illusions,

Elle veut juste en finir,

Pour à jamais partir...

 

La pluie sur son visage,

Efface le sang de son passage,

Le bras mutilé, elle part,

Elle quitte ce cauchemar...

 

Il y a de l’orage,

La tempête fait rage,

Elle est vêtue que de noir,

Elle ne croit plus en l’espoir...

 

Quelques gouttes se mélange à son sang,

Elle s’assoit, tout en haletant,

Elle s’allonge par terre,

S’entant le relief des pierres...

 

Elle lâche un soupir de douleur,

Elle n’éprouve plus de rancœur,

C’est comme ça, qu’elle est partie,

C’est ainsi qu’elle a quittée sa vie...

Il ne cessera peut-être jamais de couler,

Un bras, profondément coupé,

Une veine entaillée,

Retour a une triste réalité...

 

Qu’il soit pur ou mêlé,

Un jour ou l’autre, il a couler,

Libre a nous de l’arrêter,

Ou de laisser ses veines se vider...

 

Trahis par ce qu’on appelle amitié,

Envie de tout quitter,

Mais aussi envie de résister,

Montrer qu’on arrive tout de même a respiré !

 

Malgré tant de lacérations,

Et tout genre de mutilations,

J’ai envie de me relever,

Même si j’ai les jambes cassées...

Je suis seule, et je pleure,

Sur ce lointain bonheur,

Que j’ai rarement connu,

Que j’ai souvent perdu de vu...

 

Mais je n’ai pas le droit d’en parler,

Ce secret ne doit être profané,

Trop de larmes j’ai versées...

Je ne veux plus pleurer...

 

Mes veines récemment entaillées,

Mes souvenirs souvent bafoués,

Je me sens mourir à l’intérieur...

Je ne sens presque plus mon cœur...