Il ne cessera peut-être jamais de couler,
Un bras, profondément coupé,
Une veine entaillée,
Retour a une triste réalité...
Qu’il soit pur ou mêlé,
Un jour ou l’autre, il a couler,
Libre a nous de l’arrêter,
Ou de laisser ses veines se vider...
Trahis par ce qu’on appelle amitié,
Envie de tout quitter,
Mais aussi envie de résister,
Montrer qu’on arrive tout de même a respiré !
Malgré tant de lacérations,
Et tout genre de mutilations,
J’ai envie de me relever,
Même si j’ai les jambes cassées...