|:.. Plus rien ne va, plus rien n’a d’importance,
Envie de tout balancer en l’air,
De toute façon, j’en ai plus rien à faire,
Tout n’est plus qu’une question d’existence,
Je passe toutes mes journées,
Pas à pleurer, mais a douté,
Qui suis-je tout au fond ?
Qu’une fille qui joue avec sa vie,
Qui fais subir à son corps, tant de mutilations,
De toute façon, pourquoi rester ici ?
Si c’est pour vous entendre rire,
Alors que moi, quand je le fais, ce n’est pas sincèrement,
Quand je souris, cela revient à vous mentir !
Je ne pas me cacher éternellement...
Mais pourtant je vais continuer,
Continuer à me mutiler,
Même si au fond de moi, je voudrais arrêter,
Mais mon sang ne fait que couler,
Et moi, qui veux partir,
Partir loin, et mourir,
Vous pouvez dire que c’est égoïste,
Ou même triste,
Je ne changerais pas,
Je suis comme cela....
Je ne vois plus les étoiles,
Sur mes yeux, il y a un voile,
Qui m’empêche de voir,
Ces lueurs d’espoir...
Aujourd’hui je ne rêve plus,
Je ne fais que des cauchemars,
Où je me retrouve dans un traquenard,
Je ne sais que faire, je suis perdue,
Un bandeau cache mes mutilations,
Pour empecher les humiliations,
Pour qu’on ne le sache pas,
Pour qu’on ne se moque pas de moi...
Il est vrai, que je suis choquante,
Que je ne pleure pratiquement pas,
Il est vrai que je suis déprimante,
Mais ne vous inquiété pas,
Je ne me fais plus d’illusions,
Un seul verre de poison,
Peut me faire partir,
Et bien sur mourir,
La lame s’enfonce,
La drogue me défonce,
L’amour me tue,
J’en peux plus...
Mon sang coule a flot,
Et je brûle ma peau,
Mon corps en charpie,
Abrégeant ma triste vie,
Mes poèmes ne sont que l’aideur,
Mes bras ne sont que horreurs,
Mon passé est constitué de peur,
Et on a brisé mon cœur.....:|

Un jour, quand je ne serai plus là,
Je te verrais, même si tu ne me vois pas,
Je serais peut-être parmi les astres,
Ou bien la cause de milliers de désastres !
Hier tout aller bien, j’étais heureuse,
Et j’étais aussi très amoureuse,
Aujourd’hui, je commence à en douter,
De ce sentiment qui m’a tant fait pleurer,
Ce n’était pas comme tout le monde,
Une histoire d’amour, rien d’immonde,
Mais maintenant, je suis vide, creuse,
Plus rien ne peut me rendre heureuse,
Ton souvenir, me fait couler des larmes,
Alors, je prends cette lame, ma seule arme,
Contre ton souvenir, qui me fais dépérir,
C’est pour cela, que je veux à jamais partir...
La lame fait couler mon sang si sombre,
Mes larmes inondent mon ombre,
Je ne pourrais t’oublier,
Alors que toi tu vas te forcer,
Ai-je commis une erreur ?
Celle de t’avoir ouvert mon cœur ?
Non.... je crois que jamais j’aurais du aimer,
Ne vas pas croire que je suis en train de regretter.
Merci de m’avoir rendu heureuse,
Alors que j’étais si malheureuse,
5 jours de pur bonheur,
Et le reste de malheur...
Mais ce n’est plus rien,
Ma vie est close,
Mourir, je l’ose,
Car je n’ai plus de destin...
Je suis désolée,
De tant vouloir me suicider...