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Amitié brisée
26/10/2005 12:19
Mes larmes vont bientôt couler...
Je pense tant à cette amitié brisée...
Oh oui, elle comptait pour moi...
Mais apparemment, pas assez pour toi...
Tu t’en moquais, n’est-ce pas ?
Cette amitié que j’avais pour toi ?
Tu ne la voyais même pas...
Mais elle comptait pour moi...
Tout est fini, je le sais,
Mais je garde le secret,
Qu’un jour, notre amitié,
Se transforme en éternité...
J’aimerais tant y croire,
Et retrouver espoir,
Mais, tout s’effritera,
Et rien ne refleurira...
J’ai bien conscience,
Que tu ne me fais confiance,
Je veux tout oublier,
Afin de tout recommencer...
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º tºant dºe mºoyens º
26/10/2005 12:16
se pendre
s'ouvrir les veines
overdose
une balle dans la tete
sauter devant un camion
se laisser mourir de faim, de soif
s'étouffer
sauter du 10eme étage
un poignard dans le coeur
noyer
brûler
empoisonner
Mais il ne faut jamais perdre l'espoir...
Sans espoir, il n'y a pas de vie....
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‡…trahi… ‡
26/10/2005 12:14
Je me sens encore une fois trahi,
Pourquoi m'a t'on menti ?
Tu étais mon amie,
Mais tu as quitté ma vie...
Comment as-tu pu partir ainsi ?
Je t'en voudrais toute ma vie...
Tu m'as a nouveau abandonnée,
Me laissant dans un coin pour pleurer,
J'ai eu tort de rêver,
A cette belle amitié,
Qui n'a pu être réparé,
Quelle idiote, j'ai été...
Tu as perdu ton temps,
A vouloir me changer,
Tu y croyais tant,
Et mes larmes coulaient...
Tu voulais que je sourie,
Mais je ne suis pas ainsi,
Tu voulais me changer,
Et moi, je voulais pleurer...
A flot, elles ont coulées,
Et personnes pour les rattraper,
Les larmes sont des diamants,
Qu'on oublie avec le temps...
Je ne veux plus me confier,
Je ne suis plus rien,
Je me suis écarté de mon destin,
J'aimerais simplement me tuer...
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÷ … ni foi, ni loi … ÷
26/10/2005 12:10
° Je n'ai ni foi, ni loi...
Tu m'as aimé telle que j'étais.
Ce fut au temps ou je croyais en toi...
Et je m'étais lourdement trompée.
Je n'ai ni foi, ni loi...
Ma révolte s'épuise dans mon coeur fatigué,
Et Pourtant: je crois encore en moi!
J'y ai toujours cru, et cela m'a sauvée...
Pardonne moi, je n'ai ni foi, ni loi...
Comment peut-on encore prier?
Et croire à ton infinie bonté?
Je serai parjure jusqu'à mon dernier souffle
Quitte à crier sans fin jusqu au fond du gouffre:
Je n'ai ni foi, ni loi et je n'en aurai pas!...
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V!0L
26/10/2005 11:58
°: Si j'avais su
Ce que t'avais prévu
Je ne serai pas venue
Te rejoindre en pleine rue
J'avais 12 ans et j'étais bête
J'ai cru que tu étais différent des autres garçons
Que tu m'aimais peut-être
En fait, t'étais encore plus con
Au début, c'était comme dans mes rêves les plus fous
Tu m'as embrassée dans le cou
Tu voulais qu'on marche un peu
Tu m'as pris la main, tu semblais si heureux
Tu m'as emmenée un peu à l'écart du monde,
Dans une petite ruelle toute sombre
Je m'en suis rendue compte trop tard
Mon rêve allait devenir un cauchemar
Tout à coup, tu n'étais plus le même
Tu m'as plaquée contre le mur, fini les 'je t'aime'
Tu m'as dit que t'avais envie de moi
Que je ne pouvais rien contre toi
Tu m'as tenue contre le mur et tu as serré,
Une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier
Je sentais ton souffle rauque dans ma nuque
Tandis que tu m'arrachais ma jupe
Je ne savais pas quoi faire
Ta main toujours sur ma bouche m'obligeait à me taire
J'essayais de m'échapper
Mais tu me tenais avec fermeté
Je sentais mes jambes fléchir
J'ai cru que j'allais mourir
Je te suppliais du regard
Mais c'était sans espoir
Ma jupe tombée par terre
Ton jean déjà ouvert
J'étais épouvantée
Mais toi, tu riais
Tu t'es collé contre moi
Il n'y avait plus que ma culotte pour me séparer de toi
A ce moment j'ai prié Dieu de m'évanouir
Pour ne plus entendre tes soupirs
J'ai ressenti une douleur atroce
Tu m'avais pénétrée avec force
Tes mains exploraient chaque parcelle de mon être
Je ne pouvais plus crier, aucun son ne sortait
Tu prenais ton pied, j'étais ton jouet
Quand ça ne t'a plus amusé
Tu m'as retournée
Et t'as recommencé
Par derrière, pour changer
J'ai eu encore plus mal
Je me sentais si sale
Tu m'avais souillée,
Ruiné ma vie à jamais
Quand t'as senti ton plaisir venir
Tu m'as agenouillée devant toi
T'as ouvert ma bouche, y enfonçant tes doigts
Et tu m'y as enfoncé ton dard, sans prévenir
J'avais envie de vomir
J'avais envie de mourir
T'as évacué ton sperme dans ma bouche
Tu m'as forcé à avaler toute la louche
Et puis t'es parti
En me laissant là
Seule, nue et meurtrie
Au plus profond de moi
Tu m'as juste fais jurer
De ne jamais en parler
Disant que t'étais sûr que j'avais aimé ça
Même si je ne l'avouais pas
Je t'aimais, tu sais
Et ma virginité,
Je te l'aurai donnée
Si t'avais pensé à me le demander
Avant de me violer !
Elle ne pourra jamais oublier....
Commentaire de momo (26/10/2005 12:34) :
tro bo, tro triste ...
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