De ce monde, qui se détruit,
D’un cœur qui vit dans la nuit,
De se mal qui ne cesse de grandir,
De cette vie, qui nous fais souffrir...
N’oubli pas cette vie pleine d’effroi,
Ni ce cœur qui ne peut être apaiser,
N’oubli pas tes amis qui sont la pour toi,
Empêche ton sang de couler...
Souviens toi, des feuilles qui en automne,
Se laisse tomber, ceci est si monotone,
Regarde toutes ces vies une par une, tomber,
Pourquoi tous ces choix ? Qui a décidé ?
Pourquoi tant de vies condamnées ?
Trop de rêves ont été un jour brisé,
Trop d’intimités profanées, volées...
Trop de personnes qui nous ont quittées...
Souviens toi, que tous peut se casser,
Des rêves, des objets, une amitié,
Et que peut de choses peuvent se réparés,
Et rien ne peut apaiser, un cœur brisé...