Je dois sourire,
Je dois rire,
Donc, je dois mentir ?
Pour cacher mon envie de partir ?
Il ne faut pas pleurer,
Ça ne sert a rien,
Il faut se reprendre en main !
Cesser de vouloir se suicider !
Mais ce n’est pas simple, c’est dur,
De faire face a cet immense mur,
Dois-je empêcher mes larmes de couler ?
Ai-je le droit d’en vouloir a celui qui me les a voler ?
Je voudrais pouvoir rêver,
A autre chose qu’a la mort,
De pendu, de camé, et de bien d’autres choses encore !
Si la solution est le suicide, alors devrais-je l’adopter ?
Ou rester ici, pour encore et encore souffrir ?
Je voudrais juste pour toujours, m’endormir...
Comme cela, je pourrais t’avoir, te voir,
Et peut-être même reprendre espoir,
Mais après je ne pourrais me réveiller,
Alors je préfère me tuer... me suicider...
Alors je m’avance vers la salle de bain,
Avec une lame de cutter dans ma main,
Je me mets rapidement à pleurer,
Et de mon poignet, le sang se met à couler,
Mais je ne veux pas avoir des remords,
Mes dernière pensées, son pour mon amour,
Et pour mes amis de toujours,
Maintenant, j’attends la mort...
Un ange me prend dans ses bras,
Serais-ce une illusion ?
Ou bien est-ce à cause poison ?
Je n’ai aimé que toi...
Aujourd’hui, j’ai voulu changer,
Pour cela, j’ai tentée de me suicider,
Mais je n’ai pas pu vous dire,
A quel point je voulais mourir,
Alors seule, dans ma chambre,
J’ai embrassée la mort au regard d’ambre,
Elle m’a prise sous son aile,
Et m’a emmener loin du pays des merveilles,
Mais arriver en enfer,
Satan me marqua au fer,
Pour dire que je lui appartiens,
Mais après tout commença,
Il me prit par la main,
Et m’emmena encore plus bas...
Une fois, arriver a destination,
Plus de fausses illusions,
Plus de place pour l’impertinence,
Changement d’apparence,
De l’ange blanc, fillette aux yeux marrons,
Je passai, en démon, rempli de haine et de poison...
Ma nouvelle vie,
Si on peut appeler cela ainsi,
Consistait à détruire,
Tout être qui peut me nuire...
L’ange de la consolation,
Est devenu démon de destruction,
Remplaçant, l’amour par la haine,
Et la joie par une immense peine,
Il n’existe plus d’amitié,
Qui aurais pu me sauver...
Mais le démon, c’est l’ange devenu noir,
C’est l’ange, privé de tout espoir,
Ce n’est plus l’être si pure,
Ce n’est plus qu’une imposture...
Je ne suis plus que monstruosité,
Et mon destin, a toujours été sceller...