Si je semble ailleurs, perdue
Si mon âme vole parmis les nuages
Si les traits de mon visage
Ont une expression rêveuse inconnue
Je pense à toi...

Si les larmes me brûlent les yeux
Mais que je me force à sourire
Si derrière mon air malicieux
Tu me vois malgrès tout souffrir
Je pense à toi...

Si la pluie ne suffit pas à cacher mes larmes
Si le moindre de tes regards me désarme
Si mon rire respire la tristesse
Si mes yeux te caressent
Je pense à toi...

Et si tu vois par hasard
Mes yeux qui se voilent
Mais que dans mon regard
Il reste quand même une étoile
Je pense à toi...

Si je souffre au point de me haïr
Si je n’arrive plus à sourire
Si mes yeux de ne brillent plus
Si mon âme s’est perdue
C’est que je me doute que tu ne penses pas à moi..

je ne distingue plus le vrai du faux..
allongée parmi les morts je ne peu que désiré revivre
pourtant j'ai toujours voulu en finir
mais maintenant que j'ai du partir
je souhaiterai revenir
je en distingue plus le vrai du faux..
je usis vivante et pourtant j'ai l'impresion de n'avoir jamais vécu
je ne distingue plus le vrias du faux...
je ne sais plus rien de cette vie
je veux oublier
seulment dormir pour toujours
je ne veux pas mourir
je ne veux pas cesser d'exister
je veux seulment vivre dans mes rêves...
je veux... je ne distingue plus le vria du faux
j'ai encore pris le cutter
ma main ne le lachera plus dorénavent...

J'ai compris que je t'adorais
Te perdre je ne pourrais jamais
Ensemble on passe de si bon moment
Il y a eu de mauvais temps
Mais jamais je n'étais fâchée
Je tiens trop à toi
J'espère qu’on ne s’oubliera pas
La vie s'écoule si vite
Bientôt nous serons adulte
Nos chemins vont se séparer
Mais on n'est pas forcé de s'oublier
On peu encore passer beaucoup de bon moments
Avant que la mort nous sépare
Mais jusque là
Je ne t'oublierais pas.

Elle aimait la vie il aimait la mort

Il aimait la mort, et ses sombres promesses,

Avenir incertain d'un garçon en détresse,

Il voulait mourir, laisser partir sa peine,

Oublier tous ces jours à la même rengaine...

Elle aimait la vie, heureuse d'exister,

Voulait aider les gens et puis grandir en paix,

C'était un don du ciel, toujours souriante,

Fleurs et nature, qu'il pleuve ou qu'il vente.

Mais un beau jour, la chute commença,

Ils tombèrent amoureux, mauvais choix,

Elle aimait la vie et il aimait la mort,

Qui d'entre les deux allait être plus fort?

Ils s'aimaient tellement, ils auraient tout sacrifié,

Amis et famille, capables de tout renier,

Tout donner pour s'aimer, tel était leur or,

Mais elle aimait la vie et il aimait la mort...

Si différents et pourtant plus proches que tout,

Se comprenant pour protéger un amour fou,

L'un ne rêvait que de mourir et de s'envoler,

L'autre d'une vie avec lui, loin des atrocités...

Fin de l'histoire : obligés de se séparer,

Ils s'étaient promis leur éternelle fidélité.

Aujourd'hui, le garçon torturé vit pour elle,

Puisque la fille, pour lui, a rendu ses ailes...

Il aimait la mort, elle aimait la vie,

Il vivait pour elle, elle est morte pour lui.

La musique que nous écoutons

Peu nous réconforter
Où nous faire rêver
Ainsi que pleurer
Et même nous faire penser
Alors moi j'en ai marre
Marre de pleurer,
Marre de rêver
Marre de penser
Car quand je pleure c'est de ta faute,
Quand je rêve c'est de nous
Et quand je pense c'est de toi ...