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Pensé d'un jour
24/06/2006 22:38
Pourquoi tant de choses arrivent ? Sans quand s'en rendent compte Au début ce n'est qu'un délire Et puis de jour ça devient vrai On ne pense qu'à ça ! On ne pense à rien d'autre On ne parle de rien d'autre Nos yeux sont comme vide Sans vie On ne peut plus dormir Notre sourire disparait peu à peu Notre rire sonne faut Les gens qui nous entourent Ne nous comprenne plus Et on ne veut pas leur en parler Qu'est ce qu'ils pourraient faire ? Rien Absolument rien
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mélancolie...
06/02/2006 11:14
La douce douleur qui envahi mon cœur Fait couler mon sang par filins gracieux Fils d’or rouge des plus précieux Transportant avec eux une infini douleur Ainsi me quittent mes peines Emportant du même coup ce qu’il me reste de vie J’aurais voulu entendre ton dernier « je t’aime » Je veux que tu vives même si pour moi c’est finit Une mer de sang peu à peu se dessine Se mélangeant à un océan de larmes D’où se reflète désormais ma peine Face à mon désespoir j’étais sans arme Alors j’ai préféré tel une misérable m’enfuir Tes doux baisés me manquent déjà Pardonne-moi d’avoir préféré mourir Je t’en supplie mon ange ne pleure pas…
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Commentaire de nathalie13 (07/02/2006 10:04) :
bOnjour tres jolie poémes je te souhaite une agréable journée rempli de
joie et d'amour bisous
Nathalie
http://nathalie13.vip-blog.com
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Commentaire de mes_poemes (25/02/2006 15:12) :
tro triste
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l’histoire d’une fille inutile
06/02/2006 11:12
C’est l’histoire d’une fille inutile Qui vivait dans un monde futile C’était une incapable sans avenir Même les insultes ne la faisaient pas réagir Ses parents par honte l’on ignorée Préférant s’intéresser à leur cadet Certains jours ils l’aimaient Mais à d’autres ils la rabaissaient La pauvre fille n’était pas très jolie Pour ces raisons elle se haït Chaque soir elle se punissait Pensant qu’elle le méritait Elle pensait mériter ces châtiments Elle se haïssait tellement Si avec les gens ça ne collait pas Si les autres ne l’acceptaient pas c’est qu’elle n’était pas pareille D’après elle c’était sa faute si elle était seule C’est qu’elle était moche et stupide Alors que les autres étaient belles et gentilles Alors le rite recommençait chaque soir Mais un jour elle a appuyé trop fort Un jour, elle s’en est voulu plus qu’à son habitude Ou peu être était ce le poids de la solitude Mais depuis elle ne recommença pas L’occasion ne se représenta pas Elle avait enfin finit d’avoir mal Mais cela hélas avant qu’elle atteigne l’hôpital
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Commentaire de Fleur (12/03/2006 08:11) :
j'aime bcp tes poémes même s'ils sont tristes...je crois que c
est ds les moments les plus tristes de nos vies que l on en sort le plus
beaux de nos mots..pour avoir 14 ans je te felicite c magnifique...continue
à exterioriser tes mots et tes maux...on se vide pour mieux se remplir...a
bientôt...
http://fleur647133.vip-blog.com/
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Commentaire de lylymystery (12/03/2006 15:28) :
MErciiiii :D
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Commentaire de royaume des mots (27/05/2006 02:34) :
magnifique ce poéme , c'est désolant l'histoire de la fille !!
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pauvre fille
06/02/2006 11:11
Chaque soir on pouvait voir, Dans un coin sombre d’une pièce obscure, Sangloter une silhouette à l’aspects frêle Elle venait toujours qu’il pleuve, qu’il neige Pendent des heures elle restait là et pleurait C’était comme si de ses peines elle se vidait Puis peu à peu ses larme ont changer de couleur Pleurer ne calmait plus assez sa douleur A la lumière du jour on voyait des trace de sang Puis un beau matin au soleil levant On retrouva son corps gisant Dans une mare rouge, rouge de sang.
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Commentaire de lamiss_lucile (25/02/2006 15:20) :
tro bo ... tu va mfaire chiallé
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Commentaire de piLout€ (20/04/2006 09:15) :
c'eSt tRès jOli...! tOn blOg esT trèS trèS bieN...! GroS$es biS£s
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toi
06/02/2006 11:09
J’ai saigné mes ailes pour toi mon chéri J’ai battu mon cœur pour qu’il reste en vie J’accepte de pleurer tous les soirs pour toi De tenir le coup car tu crois en moi Je ne crois pas au prince charmant Pourtant tu me vois déjà portant ton enfant Je ne crois pas en l’avenir de notre amour Je ne crois pas en l’avenir tout court Ni avec toi ni avec qui que se soit d’autre Je ne vois qu’un futur bien sombre Rythmé par les coups d’un mari alcoolique Devenue une pauvre femme au regard mélancolique L’amour que je te porte est important Mais la distance fait couler beaucoup trop de sang Tes mots d’amour les entendrai-je un jour ? Ou suis-je condamnée t’attendre pour toujours ?
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Commentaire de ange noir (28/02/2006 17:13) :
c supér jollie se que tu a mi .
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