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Ce soir...
30/11/2005 14:03
Plongez en moi, je m'ouvre une dernière fois J'ai touché le fond, j'ai perdu ma voix Plongez en moi, elle a défié les sons J'ai tatoué mon âme La chaleur d'une femme J'ai appris à naître Elle cogne dans ma tête
Ce soir nos deux corps se mêlent Fiers d'une étreinte parfaite Et si elle veut la vie Moi je lui donne la mienne Elle a su m'affranchir De mes souvenirs Nos deux corps se mêlent Elle cogne dans ma tête
Plongez en moi, elle m'a ouvert le fond Sa voix comme sillon pour guider mes pas J'ai tatoué son âme Sous ma peau glaciale J'ai appris à naître Elle cogne dans ma tête
Ce soir nos deux corps se mêlent Fiers d'une étreinte parfaite Et si elle veut la vie Moi je lui donne la mienne Elle a su m'affranchir De mes souvenirs Nos deux corps se mêlent Elle cogne dans ma tête
J'irai brûler les feux, noyer vos fleuves, crever mes yeux J'irai graver son nom, changer les saisons si elle le veut
Ce soir nos deux corps se mêlent Fiers d'une étreinte parfaite Et si elle veut la vie Moi je lui donne la mienne Elle a su m'affranchir De mes souvenirs Nos deux corps se mêlent Elle cogne dans ma tête
Brûlez, brûlez, brûlez ce monde Brûler, brûlez, brûlez ce monde
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Mélancolie d'une vie
30/11/2005 13:57
La naissance d'un enfant
Une mère qui meurt
Un père qui pleure
Un enfant sans l'un de ses parents
Sans l'amour de sa mère
L'enfant doit grandir
Avec l'envie de mourir
Dû à l'alcolisme de son père
Overdose, son père meurt
Il se retrouve seul, doit être fort
Sans amour, sans parents, sans réconfort
Sa vie n'est qu' horreur
Une absence de malheur
Une présence de bonheur
Il retrouve la présence de l'amour
En rencontrant la mère de ses enfants
Il était soulagé de toutes ses peines en pensant
Qu'il serait enfin heureux
Un triste soir
D'immenses flammes
Entourèrent le corps de sa femme
Il retourna dans un profond désespoir
Mélancolie
Sa fille rongée par la maladie
Son fils parti aussi
Il ne supporta plus cette vie
Un court moment de bonheur
Toute une vie de malheur
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Mais qui peut faire tout ça ?
30/11/2005 13:53
Je veux quelque chose qui :
Quand je suis triste Cachent mes larmes
Quand je suis fatiguée Cachent mes cernes
Quand je suis mal a l'aise ou quand j'ai honte Cachent mes joues rouges
Quand j'ai peur Cachent mon visage pale
Comme je suis compléxée Cachent mon corps
Quand je suis ce que je suis Cachent ma personalité
Si seulement cela pouvait exister....
Commentaire de excalibur67 (30/11/2005 13:57) :
tres beau blog super !!!! bisous
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.. Un Oeil Sur Le Monde ..
29/11/2005 19:06
Mourir les yeux ouverts ?
Vivre les yeux fermés ?
Un oeil ouvert sur l'humanité , Le regard gauche est bien fou et bien hardi ! La paupière droite s'incline devant l'immondité , L'autre affronte courageusement cette "vie" .
Un oeil fermé sur la réalité , à l'écoute du mensonge . Le regard gauche luttant contre ce dernier . Qu'il est doux et facile de dormir dans les songes , Quand l'autre partie insomniaque se surprend à prier !
Mourir les yeux ouverts ?
Vivre les yeux fermés ?
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.. Séparation Douloureuse ..
29/11/2005 19:02
je t'aime comme l'hémoglobine son sang , je te voue une passion débordante et submergeante , mon esprit s'y est noyé d'illusions , tu mens ! je t'aime jusqu'à la dérision , ton mensonge me hante , tu as volé le réalisme qui maintenait mes yeux ouverts , et forcé mes paupières à se clore sur mes yeux fatigués , j'ai besoin de toi pour vaincre la peine adversaire , besoin de toi pour me morfondre sur un sort de ton idée .
je t'aime comme je n'avais jamais pu auparavant , pour une raison certaine qui m'échappe et m'étrangle , désormais tu t'éloignes au loin avec mon visage souriant , laissant place à une face meurtrie de coups de ceinture et de sangle , toi la déesse qui a pu me rendre tant d'apparences , aujourd'hui tu te moques de celle que tu m'as lâchement laissée . ton envie de me détruire que ton comble et mon mal que tu panses , la nuit et le jour réunis en toi , je t'aime démon masqué .
je t'aime comme la soeur que j'eus et qui repartit , je te voue une chose qui peut-être ne le devrait pas , depuis toi ma jumelle , mon sourire s'est enfuit . et ton souvenir me paralyse un peu plus à chacun de mes pas , tu as volé la vie que je n'avais plus , tu me laisses à mes tourments et t'en vas , comme de rien , tu es l'éternelle fée et moi la fille sans vertue , tu pars sans un mot , tu es heureuse , moi pas , et c'est bien .
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